Bon, on s’est contentés d’apporter quelques fleurs, visiblement les autres faisaient pareil . . .

 Et boire un coup . . . ça remet les idées en place après cette épreuve.

 Il a fallu séparer les filles, pretes à en venir aux mains comme on le voit sur ce document rare.

 La solution fût de les enfermer derrière les murailles qui ne sont pas chères là bas.

 Après ca va mieux, elles tentent de se faire pardonner…

 Mais la surveillance est constante, visite des culs de basse fosse pour l’exemple . . .

 Et stage de peinture obligatoire. Nous ne sommes qu’à moitié contents du résultat, heureusement la prochaine marée effacera tout ça.

 Je reviens sur le repas, gravement compromis par le parrain local qui nous a forcé à boire, plus que raison. Autrement il y aurait eu un autre locataire à l’église, c’est sur ! Mais heureusement l’alcool . . .

 Nouvelle punition pour Christine, obligée de surveiller la grille et l’escalier pour qu’on ne les vole pas . . . C’est long et fatigant.
 

 Nous avons aussi tenté de voler le linge pour faire un petit nettoyage de motos, mais c’était trop haut et le bâtiment à droite menaçait de s’écrouler, alors on a évité.
 

 Un peu plus tard nous nous sommes arrêtés et Régis a voulu tester un produit local. Bon ça ne lui a pas bien réussi, même si lui ne se rendait pas bien compte de la situation . . . Nous, si !

 Le produit c’est ça :

 Heureusement on était près d’une autre église, l’eau bénite,  en injection . . .

 Après s’être égarés quelques heures dans les montagnes hostiles, on a fini par retrouver le bivouac. Les filles voulaient tout casser pour avoir à dîner.

 Mais les cuisiniers ne sont pas laissés impressionner . . .

 Le jour suivant tout le monde se presse vers Cangas de Onis.

 Première surprise, il y a une fuite, faut réparer avant qu’il n’y ait plus d’eau !

 Sinon on aurait été changé en statue c’est déjà arrivé ! ! !

Ou alors jetés du pont ! Cela arrive si souvent qu'ici il y a deux ponts, un vieux . . .

 Et un neuf.

 On a aussi eu quelques problèmes avec Guy, qui laissait transparaitre ses envies, mais bon, les flics n’ont rien vu.

 

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